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Gâteau licorne – façon vacherin glacé

Vacherin glacé licorne

Je t’explique chaque étape, avec tous les détails ! Trop certainement ! (comme je vais troooop te saouler !) Mais comme ça tu ne seras pas perdue en cours de confection.

Cette jolie licorne existe sur internet, sous forme de gâteau. Ici je te propose une manière un peu originale, sous forme de vacherin glacé. Parce que c’est facile à préparer et que ça convient toujours pour un anniversaire. Imagine un peu les yeux de ta poulette quand elle le verra ! Je l’ai fait brut mais tu peux aussi le lisser.

Avant de commencer le gâteau, prépare les meringues multicolores ! C’est génial car tu peux les faire très en avance. Une semaine avant, elles se conserveront dans une boîte hermétique. Un mois avant, tu peux les placer au congélateur !

LES MERINGUES ARC-EN-CIEL

Tu trouves une vidéo très bien expliquée en recherchant sur Youtube : meringues en forme de rose – l’Atelier de Roxane.

Je remets les informations ci-dessous par écrit :

Ingrédients et matériel

  • 60 g de blanc d’œufs (ça représentera environ deux oeufs)
  • 120 g de sucre 
  • 3 colorants alimentaires (en poudre ça va aussi) Mettre une mini goutte ! ici : jaune-bleu-rouge.
  • du film alimentaire
  • 3 bols
  • une poche à douille

Battre les blancs d’œufs à faible vitesse et, lorsque le mélange commence à devenir mousseux (blanc), ajouter le sucre petit à petit, en augmentant aussi la vitesse. Ici, avec mon robot, je suis obligée de faire à forte vitesse pour que les oeufs blanchissent.

Quand ça fait un beau bec d’oiseau, répartir la préparation dans 3 bols avec une lécheuse.

Ajouter une goutte de colorant dans chaque bol.

Sur un grand film alimentaire, disposer les 3 couleurs (elles se touchent en formant 3 tubes) et « rouler le papier ».

Placer le tout dans une poche à douille.

Cuisson à 100° pendant 1h20 (fondante au milieu). Sinon, 2 heures.

J’ai utilisé une poche à douille que j’avais sous le coude. Pas terrible.

LE GÂTEAU

Ce qu’il te faut (pour un moule de 18 cm) :

  • env. 8 dl de glace (ici vanille)
  • env. 8 dl de glace (ici chocolat)
  • env. 8 dl de sorbet (ici pêche-abricot)
  • quelques biscuits (Speculoos,…)
  • des meringues (voir la recette ci-avant)
  • 250-300 ml de crème ENTIERE (on oublie la crème allégée !)
  • 20 gr. de sucre glace OU un sachet de Crème-Fix (conseillé pour les débutantes)
  • facultatif : des fruits pour la décoration. Ici j’ai mis aussi des bonbons Lachgummi.

Au niveau matériel :

  • 1 moule à charnière de 18 cm, le plus haut possible.
  • 1 fouet (électrique si possible, pour faire monter la crème)
  • une spatule pour lisser (ou un grand couteau à défaut)
  • 1 congélateur 😉 (tu auras pris le soin d’y faire de la place avant de commencer quoi que ce soit !)
  • une corne de licorne avec les oreilles et les yeux autocollants (j’en proposais dans le shop mais je n’en ai plus)

Tu peux préparer ce vacherin glacé la veille. Il faut par contre toujours avoir ton matériel prêt ainsi que des idées de décoration bien précises afin d’agir au plus vite, à chaque étape, pour éviter que la glace ne fonde !

Ici je mets, sur le dessous, la glace chocolat, au milieu la glace vanille et sur le dessus, le sorbet. Mais tu mets dans l’ordre que tu veux ! Par contre, la glace au chocolat sur le dessous ce n’est pas vraiment idéal car si elle fond un peu lorsque tu décores, tu risques d’avoir de vilaines taches brunâtres. Mais c’est loin d’être un gros problème.

  1. Sortir la glace chocolat du congélateur environ 15 minutes afin qu’elle soit un peu malléable et l’étaler au fond du moule à charnières en gardant une surface plane. Replacer le tout au congélateur quelques minutes. Ne pas trop la laisser dégeler pour éviter la prolifération de bactéries, évidemment.
  2. Sortir la glace vanille du congélateur.
  3. Pendant que la glace vanille se ramollit, écraser les biscuits (ou des meringues, comme tu préfères) en petits morceaux. Tu peux les placer dans un sachet hermétique ou un linge bien propre et passer le rouleau à pâtisserie dessus.
  4. Une fois que la couche de chocolat a bien durci, la sortir du congélateur et la parsemer de ta poudre de biscuit (ou meringues), en tassant bien.
  5. Etaler ensuite la glace vanille. Tasser le tout. La surface doit être plane. Replacer au congélateur, le temps que ça durcisse.
  6. Procéder de la même manière pour le sorbet (pas besoin de remettre des biscuits entre les deux couches).
  7. Placer le tout au congélateur pendant 2 heures (voire toute la nuit).
  8. Pour préparer la Chantilly, fouetter dans un bol bien froid la crème liquide ENTIERE (bien froide aussi). (Placer le bol, la crème et le fouet au réfrigérateur jusqu’à ce qu’ils soient très froids). Pour info, j’ai tenté de préparer la crème par temps de canicule… eh bien ! J’ai dû la jeter et recommencer tard dans la soirée. Donc si tu dois travailler dans ces conditions, place le bol, le fouet et la crème 15-20 minutes au congélateur avant de fouetter. Fouetter la crème et lorsqu’elle a une texture de mousse à raser, y ajouter petit à petit le sucre glace et continuer de fouetter (un peu plus fort) jusqu’à ce que la crème reste carrément agrippée au bol lorsqu’on le retourne. Attention, si tu insistes trop, tu auras du beurre et non de la Chantilly ! Bof, bof… Si tu veux être sûre de ne pas te louper, au lieu de mettre le sucre glace, ajoute du Crème-Fix (tu en trouves partout : Migros, Coop,..). Ce sont de tout petits sachets.
  9. Démouler délicatement le vacherin (en prenant soin de décoller les bords avant d’ouvrir le moule – avec une sorte de spatule étroite, en plastique de préférence pour ne pas abîmer le moule), étaler rapidement la Chantilly. Placer la corne (histoire de lui trouver une place. Tu peux ensuite l’enlever pour la congeler. Fixer les meringues et autres décorations. Replacer le tout au congélateur. Si tu ne veux pas que le gâteau prenne le goût des aliments qui se trouvent dans ton congélateur, une fois que la crème a durci, tu peux le filmer (là on parle pas de vidéo hein) avec précaution. Je ne le fais pas et il n’a jamais eu le goût des autres aliments.Pour la décoration, tu peux ajouter des fruits, des bonbons, ce que tu veux ! Si tu as dû congeler ton vacherin avant de mettre les décorations, tu peux les faire tenir en les badigeonnant d’un peu de crème Chantilly.
  10. Les yeux tiendront bien sur la crème. Tu peux les fixer tout à la fin, avec un soupçon de crème Chantilly.

Voilà ! Bon appétit !

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Pack vacances spécial bout’chou

Hein ??! Cékoi cékoi ?? et cépourki ?

Les vacances approchent enfin ? J’ai sélectionné pour vous 10 articles pratiques pour un séjour près de l’eau (piscine, lac, mer,…) avec votre bambin. Ce pack est destiné aux petits de la naissance à la propreté 😉

Il se décline en deux versions : FILLE ou GARCON. Ouais, j’ai pas cherché midi à 14h sur ce coup…

Le pack est à Fr. 49.- . Il se trouve dans la rubrique “Eco’logique” dans le shop.

Y’aquoidedans ?

Dans ce pack vacances, vous trouverez :

  1. une couche lavable maillot de bain
  2. une couche lavable maillot de bain
  3. un petit sac imperméable
  4. un bracelet d’identité 
  5. un mouchoir en tissu (ou 3 débarbouillettes) (à choix)
  6. un attache-serviette ou doudou (ruban à choix)
  7. une pochette étanche pour lingettes humides
  8. un sac à coquillages et petits cailloux
  9. un paquet de feuilles de savon
  10. un filet à savon ultra moussant
  11. un bon de 20% sur un accessoire en perles (à choix)

Cébienbo mécékoi touça ??!

Pas de panique, je vous explique tout en détail 😉

  1. Couche lavable maillot de bain : cette couche remplace les couches jetables du commerce. Grâce aux boutons-pression, elle s’adapte facilement de la naissance à plus de 3 ans ! Si votre canaille fait pipi (ouais ben c’est quand même prévu pour ça), il suffit de la rincer et la laver avec votre lessive. Si le coquinou teste si la couche résiste au caca, pas de panique : il suffit de jeter les selles et de rincer la couches à l’eau FROIDE avant de la mettre à la machine avec le reste du linge. Elle en ressortira comme neuve. On peut naturellement mettre un maillot de bain dessus. Vous aurez une seule couche jusqu’à la propreté de l’enfant. Plus besoin d’acheter des paquets de couches jetables pour la piscine et de changer de taille chaque 6 mois ;-). Testée et approuvé par notre petite famille !
  2. Sac imperméable : ben là j’ai pas grand chose à dire : c’est un sac pour ranger la couche mouillée. Le petit plus : hors piscine, il convient parfaitement pour ranger les serviettes lavables de maman par exemple. Peut naturellement être lavé en machine.
  3. Bracelet d’identité waterproof : ce sont les bracelets que je propose dans mon shop. Idéal lors des sorties où il y a du monde. Vous pouvez y inscrire votre nom et votre numéro de portable. Le petit plus de ce bracelet : il s’adapte à tous les bras et peut aller dans l’eau. Il est évidemment réutilisable.
  4. Mouchoir en tissu : un mouchoir à glisser au coin du lit de tous les petits. Pratique, mignon et parfois réconfortant pour l’enfant. Se lave normalement, avec le reste du linge. Certains enfants déchiquettent les Mouchoir en tissu : un mouchoir à glisser au coin du lit de tous les petits. Pratique, mignon et parfois réconfortant pour l’enfant. Se lave normalement, avec le reste du linge. Certains enfants déchiquettent les mouchoirs en tissu et se les enfisiquent dans le nez, même à 2,5 ans…. Ben salut les ressortir ! (non non c’est pas du vécu ! hum hum….). Donc du coup c’en est presque une nécessité 😉 ou alors 3 débarbouillettes : pratique pour nettoyer le visage et les mains à chaque repas. Ici les enfants adorent !
  5. Attache-serviette ou doudou : ce sont les attaches que je propose dans le shop. L’objet à toujours avoir dans sa pochette à couches. n’importe quel linge ou serviette de restaurant se transformera alors en bavette ! Ils sont par ailleurs souvent utilisés comme attache-doudou 😉 Vous pouvez choisir le ruban que vous voulez dans le shop (dans la mesure des stocks disponibles). Valeur : Fr. 9.-.
  6. Pochette pour lingettes humides : le haut est équipé d’une fermeture ziplock. Du coup vous pourrez y glisser n’importe quelles lingettes humides (faites maison ou du commerce). Pas besoin de prendre l’entier de votre immense paquet lors d’une petite balade. La capsule permet de bien refermer le sachet pour que les lingettes ne se dessèchent pas. La pochette est munie d’une dragonne pratique qui peut s’accrocher partout. Pratique comme boîte à lingettes humides maison 😉
  7. Sac à coquillage et petit caillou : petit sac à mettre à l’épaule. L’enfant adorera y placer ses trésors découverts dans le sable.
  8. Paquet de feuilles de savon : vous vous demandez ce que c’est ? Ce sont des feuilles biodégradables enduites de savon. Ici, il m’est arrivé à de nombreuses reprises de me retrouver avec de l’eau mais pas de savon… et des mains toutes cracrabeurk (les gosses en général, pas moi ;-)). Par exemple dans les parcs de jeux ou il y a des WC mais pas de savon, dans les toilettes des aires d’autoroute, dans la forêt (quand minouchon vient me montrer les belles pétoles qu’il a découvertes) …. Du coup, on sort sa petite feuille, on passe les mains sous l’eau et on fait mousser 😉 A glisser dans le porte-monnaie par exemple.
  9. Filet à savon ultra moussant : transforme n’importe quel savon solide en un savon ultra moussant ! Très pratique pour suspendre dans la douche et empêche le savon de glisser des mains. Pratique aussi pour emporter son savon solide en vacances 😉
  10. Bon de 20% sur accessoire en perles : valable sur un accessoire en perles du shop, à choix. Non cumulable avec d’autres promotions en cours.

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Aromato Sphère (des soins naturels pour rendre notre quotidien plus doux)

Un p’tit mot aujourd’hui pour te parler d’une super nana, Isaline Bessard.

Actuellement en formation chez ERA (École Romande d’Aromathérapie), Isaline, jeune maman, vous propose une large gamme de mélanges “nature” pour vous prendre soin de vous et chouchouter vos proches.

Passionnée par la nature et par ce qu’elle nous offre, elle s’est intéressée aux huiles essentielles. Elles font désormais parties intégrantes de sa vie.

Roll-on “Anti hématomes”
Roll-on “Détente-Angoisse”
Roll-on “Piqûres d’insectes”
Roll-on “anti-boutons”
Roll-on “bulle de douceur”
Roll-on “immunité”
Roll-on “tête légère”

Spray “anti-bzzzz”
Spray ” anti-tiques – anti-poux”
Spray “blessures”
Spray ” anti-monstres”

Huile de massage “détente”
Huile de massage “sportif”
Huile “jambes légères”
Huile “Après épilation”

Baume “respiratoire”
Baume “Dans les bras de Morphée”

🔶🔷🔸Cette liste et non-exhaustive et une multitude d’autres mélanges sont possibles.🔸🔷🔶

Difficultés à digérer?
Troubles du sommeil?
Agitation-angoisses?
Douleurs dues a l’arthrose?
Douleurs dues au sport? …

N’hésitez pas à la contacter 💕

Vous trouverez ses fioles magiques chez Isaline Bessard, à Sembrancher

www.aromatosphere.ch

Quelques pochettes zippées qui sont chez elles :

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Retirer une écharde à un enfant, sans douleur : l’astuce imparable !

La méthode sans douleur et sans cri (de mon mari) ! C’est pas mon mari qui crie, c’est bien le gosse. C’est juste la méthode qui est de mon mari. Pas qu’il y ait ambiguïté 😂😅

Aujourd’hui, tu vas sans doute penser que j’ai pété un câble (car j’avoue que la méthode est un peu particulière mais elle est de mon mari si t’avais pas compris, pas de moi 😂) … mais ne juge pas si vite, si t’es dans la même mer… misère que nous, je vais peut-être sauver ton demain à toi !

Si tu es tombé(e) sur cet article, c’est que toi aussi tu es certainement confronté(e) aux hurlements de ta progéniture dès que tu t’approches d’elle avec une aiguille pour retirer cette saleté d’écharde. Rien à faire, je devine que tu as tout essayé et tu finis sur le Net à la recherche de LA solution miracle, avant que tes voisins n’appellent la police pour maltraitance. Parce que oui, la peur peut faire pousser des cris dont on ne soupçonnait point l’existence. Un bon niveau 10 sur l’échelle de la Stridenticité ! Et c’est dire si nous les Mum’s (et les pap’s aussi !) on en a entendu des cris d’enfants ! Enfin je sais pas chez toi comment c’est mais…. oui bon c’est un autre débat. Revenons à nos échardes…

Si tu fais mine d’ignorer l’existence de la vilaine (je parle toujours de l’écharde), il y a de forts risques que la douleur s’accentue, voire que ça s’infecte. Alors voici notre truc (testé et retesté moulte fois avant de décrocher le privilège de figurer dans ma rubrique trucs et astuces 😁. On ne fait pas les choses à moitié ici 😝). Tu connais sans doute mon attrait pour les produits naturels et tout et tout ?! Donc tu t’attends à ce que je te parle “bicarbonate de soude” et tout le tsoin-tsouin ? Ben non ! Perdu ! Pas pour cette fois. Allez, je mets fin à ce suspens insoutenable :

  1. Reste calme et rassure ton enfant. Mais surtout reste calme. Hein t’es en nage ?! Il t’en a donné des sueurs, non ?
  2. Dis-lui bien que ça ne fait pas (trop) mal mais qu’une pince à épiler ne suffira pas cette fois à retirer l’écharde. Assure ton enfant qu’il peut être tranquille et que demain on cherchera trouvera une solution.
  3. Attends le soir et mets ton enfant au lit comme d’habitude. Mais avant, n’oublie pas de repérer exactement à quel endroit se situe l’écharde ! Si tu te loupes sur ce point, tu risques de compromettre l’Opération.
  4. C’est là que les choses sérieuses commencent ! Nous l’appelons chez nous “l’Opération Commando” 😉
  5. Attends que ton enfant soit bien endormi. Attention ! N’attends pas trop, ça pourrait également compromettre l’opération. Nous l’avons fait plusieurs fois vers 22h – 22h30 et c’était top. A 1h du matin, c’était trop tard. Le sommeil n’était plus assez profond. Il ne s’est pas réveillé mais nous avons eu peur, ahah ! Il gigotait dans tous les sens. Parce que oui, on a l’air un peu con si le gosse se réveille et qu’il découvre les deux vieux qui le triturent avec une aiguille, pendant son sommeil. Le pauvre risquerait d’éprouver quelques difficultés à se rendormir après ça, ahahah ! Et surtout, on perdrait toute crédibilité sur bien des points…
  6. Lave-toi bien les mains.
  7. Munis-toi d’une aiguille désinfectée (si tu n’as rien pour désinfecter, tu la fais bouillir quelques minutes), d’une lampe de poche, d’un spray ou une crème désinfectante, d’un chiffon.
  8. Et là, (je tiens vraiment à souligner que nos enfants sont loin d’être de gros dormeurs, promis), tu entres en douce dans sa chambre, tu déplaces gentiment ton gosse pour être à l’aise pour “travailler”, tu éclaires la zone avec ta lampe (à deux c’est plus simple) et tu fais sortir l’objet du drame avec ton aiguille. Essaie de comprendre par où elle est entrée et fais-lui faire le chemin inverse. Tu gratouilles un peu…. ouais enfin ça je pense que tu vois un peu comment faire.
  9. Arrivé à ce stade des opérations, il est temps de sortir ton chiffon pour éponger les sueurs de ton front.
  10. Un peu de désinfectant quand c’est fini. Et hop, l’affaire est dans le sac !
  11. Et le lendemain au réveil tu hérites d’un gosse soulagé comme pas possible ! Tout pour bien commencer ta journée 😉

Quand mon mari m’a présenté son idée la première fois, je lui ai ri au nez. Après toutes ces galères pour faire dormir nos gosses, jamais je n’ai osé faire le moindre bruit ne serait-ce que devant leur porte. On n’osait déjà pas séparer nos deux yogourts mocca car le “clac” les réveillait.  Alors de là à rentrer dans leur chambre, leur prendre la main, la déplacer, la gratouiller,… ben si si ! Jamais Ò jamais je n’aurai eu cette idée toute seule 😂

Ce week-end, le boy a ramené 3 échardes de chez les voisins…. c’est ce week-end même que nous avons dû abdiquer lors de l’Opération Commando d’01h30… Au réveil, il a regardé ses mains et on a vu sur son visage une grosse déception. Cette nuit, nous avons réitéré l’opération, qui fut un succès, comme les autres fois. Il était HEU-REUX ce matin au réveil. Avec l’expérience, même s’il sait qu’on vient lui enlever les échardes avec l’aiguille qui lui procure tant d’angoisses (même pas besoin d’en parler la veille au soir), il s’endort sans aucun souci (du moins pas plus que d’habitude😅). Il est même soulagé qu’on le fasse ainsi.

Par contre, si l’écharde est profonde à un point que rien ne fonctionne (encore plus si elle est située sur une articulation), si ça devient rouge, gonflé ou si l’enfant fait de la fièvre, il vaut mieux consulter rapidement !

Allez, je m’en vais chercher du bois 😈 😂 !

SI CETTE METHODE NE TE PARLE PAS, TU PEUX ESSAYER CECI : 

Commence toujours par désinfecter la zone. Imbibe une compresse avec de l’huile (olive, amande douce,…). Place-la sur l’écharde et maintiens le tout avec un pansement. Laisse agir un moment et, lorsque la peau est un peu ramollie, pince légèrement la peau afin de faire sortir l’écharde sans douleur.

Option supplémentaire : tu trouveras à la pharmacie, une crème qui aidera à retirer l’écharde : Ichtolan 20 %. Sa composition fait un peu peur mais elle reste plutôt efficace. Veille toutefois à contrôler que l’écharde ne s’infecte pas (zone rouge, pu, fièvre,…) : dans ce cas, il vaut mieux aller contrôler chez son médecin.

 

Removing a splinter from a child’s toe.

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La douleur chronique – douleur entre les omoplates

Comme tu le sais, j’évite les articles sur des sujets pas drôles… Mais aujourd’hui, je suis d’humeur à parler d’un point (pour ne pas dire un poids) de ma vie qui a été vraiment lourd. Comme d’habitude, je n’ai aucune envie d’étaler ma vie privée sur internet, mais si je suis en train d’écrire ces lignes, c’est que je m’en suis sortie et que je pense que mon histoire pourrait éventuellement aider d’autres personnes. Vous serez certainement très peu nombreuses à vous sentir concernées, mais si je peux aider ne serait-ce qu’une personne (même sans que je le sache), j’aurais réussi ! On me laisse très peu de commentaires sur le site mais je reçois beaucoup de mails et je sais que je peux peut-être redonner espoir à quelqu’un.

J’ai eu une douleur interscapulaire (entre l’omoplate gauche et la colonne vertébrale). Une douleur sourde, sournoise, impossible à calmer… de 12 ans à 26 ans…. 

Ce n’était rien de grave, bien sûr. Mille fois on m’a dit : ce n’est rien, tu n’as pas de cancer. Tous les jeunes ont mal au dos… Alors oui, ce n’est heureusement pas le même combat. Ca n’a rien à voir. J’ai beaucoup de chance. J’ai aussi un peu honte de parler d’un mal qui n’est en définitive pas grave… Mais cette saleté de douleur m’a fait souffrir au point d’avoir des idées suicidaires tous les jours, de passer des années noires, … Elle m’a carrément pourri la vie et je pense que c’est suffisant pour qu’on s’y intéresse. Suffisant pour que j’en parle.

 

Symptômes

Vers mes 12 ans, des fourmillements intenses sont venus perturber mes journées. Ils partaient de la fesse droite et remontaient jusqu’à la base de la nuque. Ce n’était pas douloureux mais très désagréable et de plus en plus rapproché. Gentiment, les fourmillements se sont espacés à droite (moins constants) et une douleur est venue s’installer entre l’omoplate gauche et la colonne. Elle se présentait sous forme d’un point que je pouvais plus ou moins toucher du doigt. Sur une échelle de 1 à 10, je la situais à 4. Elle n’était pas intense mais très désagréable et vraiment difficile à supporter car très rares étaient les jours où j’allais mieux. J’avais également mal dans la nuque et le bras, constamment. La douleur prenait naissance aux dernières cervicales et descendait le long du bras gauche (sur la face externe). Je la sentais plus fortement à la nuque, à l’avant-bras et au poignet. Elle remontait parfois derrière la tête et sur la partie gauche du visage, près de l’œil. Elle se présentait sous forme de grosse tension. Parfois, à la nuque, après un effort, je ressentais une brûlure très vive.

Ces douleurs n’étaient pas invalidantes mais je n’arrivais plus à vivre avec elles du fait de leur constance.

Tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes, toutes les secondes, j’avais mal.

Toutes les activités qui demandent de la concentration m’étaient insupportables. Tous les matins, je me levais avec l’impression que la journée serait mon combat. Rien ne pouvait calmer ce mal sournois. Les bains chauds, l’activité physique, le repos, les massages, … rien n’y faisait. J’appréhendais les nuits car impossible de trouver une position confortable. Impossible de trouver le sommeil, tout simplement. Au lever, suivant le niveau de la douleur, j’arrivais à deviner le niveau de difficulté de ma journée. J’ai fait ma maturité commerciale avec ces douleurs et ça a été un vrai combat. Je voulais continuer mes études après cela mais je n’ai pas pu. Trop mal. Trop dur. Et impossible d’en parler autour de moi car on ne voit rien, on te prend vite pour une folle.

Je n’aime pas prendre des médicaments, mais j’ai essayé tout de même pas mal de choses tant j’étais embêtée dans mon quotidien.

Traitements

  • J’ai fait de la physiothérapie. Aucun changement.
  • J’ai tenté l’ostéopathie à plusieurs reprises. Aucun changement.
  • Plus tard, j’ai tenté une nouvelle fois de la physiothérapie dans un centre thermal. Les douleurs s’amplifiaient après chaque séance.
  • Traitement chez un médecin spécialiste des douleurs dorsales et sportives : injections (xylocaïne sauf erreur) à l’épaule à plusieurs reprises. La douleur dans le bras, la nuque et la main s’atténuait fortement pendant 2-3 jours maximum. Cependant, la douleur entre l’omoplate et la colonne n’a jamais cessé.
  • Au centre de la douleur (je me suis décidée à y aller au décès de mon frère. Au point où j’en étais….) : anti-dépresseurs (Fluoxétine) pendant plusieurs mois – aucun changement (des rires à la place des pleurs). On me disait de manière indirecte que les douleurs étaient peut-être psychologiques.
  • Infiltrations (vertèbres cervicales) au centre de la douleur. La douleur (bras, nuque, main,…) a disparu pendant un certain temps (je ne sais plus exactement). Par contre, le point entre l’omoplate et la colonne n’a pas cessé.
  • Novembre 2007 : anesthésie du « nerf supra scapulaire à l’échancrure coracoïdienne ? (qqch du style)». Aucun de changement.

Bref, désespoir total. Un mari qui m’a aidée comme peu de maris le feraient. Massage tous les soirs avant de dormir. Aide au quotidien pour me remonter le moral, pour faire les tâches qui m’étaient insupportables…

Les radios montraient une scoliose, cyphose, lordose, du Scheuerman,… En gros mon dos est vraiment pas en forme mais rien n’expliquait vraiment cette douleur précise.

 

Conflit antérieur de la hanche

Après plusieurs années de galère totale, j’ai commencé à avoir de très vives douleurs à la hanche (fesse droite, en position assise surtout). Ce chapitre n’a peut-être aucun lien avec les maux de dos mais j’en parle quand même, on ne sait jamais.

Pendant longtemps, comme personne ne prenait au sérieux mes douleurs dorsales, j’ai gardé cette douleur horrible secrète. J’étais anéantie. Démoralisée. Arrivée ensuite à un stade où la position assise m’était devenue carrément insupportable (niveau 10 sur 10. Même 12), j’en ai parlé au médecin spécialiste qui me suivait pour le dos. Il a réagi immédiatement et m’a fait une radio des hanches, laquelle a révélé une anomalie : conflit antérieur de la hanche, aux deux hanches. J’ai dû passer un IRM rapidement.

Les événements se sont enchaînés et j’ai été opérée, en juillet 2007, à la clinique de Riaz, dans le Canton de Fribourg. Etant donné que le cartilage et le labrum étaient dans un trop mauvais état, tout n’a pas pu être réparé. A part cela, l’opération s’est bien déroulée.

Malheureusement, les douleurs n’ont pas diminué du tout, pendant très longtemps. Au bout de 4 ans, elles se sont atténuées. Les douleurs post-opératoires étaient différentes de ma douleur de base… du coup c’était la panique.

Symptômes

Douleur très vive dans la fesse droite en position assise (particulièrement la conduite). Elle est plutôt située dans le milieu et le haut de la fesse, plutôt sur l’extérieur. La douleur descend dans la cuisse, à l’arrière. Sur une échelle de 1 à 10, elle atteignait très souvent 10. Rester assis devenait très difficile. J’étais sous Tramal tout le temps. Avant l’opération déjà. Je ne pouvais plus me séparer du Tramal (de loin pas une dépendance) mais la douleur était si vive que je ne tenais pas le coup si je n’en prenais pas. Ce qui est étonnant, c’est que le Tramal (qui agit comme la morphine), calmait très nettement les douleurs de hanches mais ne changeait absolument rien aux douleurs dorsales.

Debout, la douleur est moins importante. Elle descend le long de la jambe (à l’arrière) jusque sous le talon.

La hanche gauche m’a fait beaucoup souffrir aussi. Mais d’une manière différente : pas de douleur dans la jambe.

Bref, ça fait maintenant 9 ans que j’ai été opérée (j’avais 21 ans) et j’avoue que ça va beaucoup mieux. Je vis normalement, sans médicament aucun. Les jours comme aujourd’hui sont plus pénibles car j’ai mal à la hanche droite. Le froid qui arrive n’aide pas. J’ai remarqué ces dernières années que les hivers sont difficiles mais les étés sont un bonheur. Ca va tellement mieux !

 

Traitements

Plusieurs analgésiques, anti-inflammatoires tels que :

  • Dafalgan (pas d’amélioration)
  • Irfen 400 (amélioration légère)
  • Arthrotec et Condrosulf (pas de grande amélioration)
  • Tramal  / Tramadol – nette amélioration mais pas évident de supporter les effets secondaires.
  • Voltaren (amélioration légère, mais de courte durée) – effets secondaires vraiment bof. Vite abandonné.
  • Sulfate de glucosamine
  • Toutes sortes de produits naturels (griffes du diable, encens, spagirie,…)
  • Tous les Perskindol (jaune, rouge, bleu, vert,… ) sous toutes les formes…. (pour le dos et la hanche)
  • De la glace, du chaud,…

Voilà… des frais énormes… pour trop peu d’amélioration. Je me suis ruinée à essayer tout ce qui était susceptible de m’aider. J’ai essayé aussi une vingtaine de séances (sur plusieurs années) d’ostéopathie. Mais je n’ai pas constaté de résultat positif et mon assurance ne remboursait pas ce genre de médecine.

 

Enfin voilà… Tout ça pour dire que miracle, aujourd’hui mes douleurs dorsales ne sont qu’un mauvais souvenir. Il m’arrive un ou deux jours par mois d’en souffrir mais ce n’est rien car je sais que ça passe. Du côté des hanches, c’est un peu plus compliqué mais les douleurs ne m’empêchent pas de vivre 😉

Et si j’écris tout ce bla-bla, c’est aussi pour expliquer quelque chose d’un peu fou. Je déteste chercher sur internet ce qui pourrait causer tel ou tel mal. Mais lorsque j’étais en plein galère, j’ai beaucoup lu au sujet des douleurs dorsales. J’ai lu des centaines d’articles. Mon mari, qui m’aidait tellement, a même acheté plusieurs livres de médecine, pour comprendre. Et dans un de ces livres, j’ai lu LE document que je devais lire. Il s’agissait d’une analyse de Robert Maigne qui traitait de la douleur interscapulaire. Quand j’ai lu ça, pour la première fois (malgré les centaines d’articles que j’ai pu lire), j’ai reconnu MON problème. J’ai pleuré du début à la fin. Comme si un mec que je ne connaissais pas, parlait de moi. De mon fardeau. Et ce que j’ai retenu de ce texte est l’idée suivante : “c’est une douleur sournoise dont on ne connait pas exactement la provenance, elle touche en particulier les femmes et disparait spontanément, sans raison connue, à l’âge de 25 ans”. C’était cette idée, d’après mes souvenirs. Ce qui est drôle, c’est qu’il appelait ça le syndrome de la couturière ! Ahaha ! Je ne cousais pas encore à l’époque.

J’ai attendu avec une énorme impatience mes 25 ans. Car au fond de moi j’étais quasi sûre que j’avais ce mal qu’il décrivait. A 25 ans et quelques mois, autant vous dire que j’étais au fond du bac, au bout de ma vie. Rien n’avait changé. J’étais avec mon mari depuis un bon moment déjà et je n’arrivais pas à envisager avoir des enfants tellement je souffrais. J’arrivais à peine à atteindre la fin de mes journées, il m’était donc impossible d’envisager de m’occuper d’un bébé. Le temps a passé. A 26 ans, j’ai eu un jour sans douleur. C’était absolument nouveau. Puis deux jours. Puis rechute. Puis une semaine, puis rechute,… Chaque fois qu’elle revenait, mon moral prenait un sacré coup. Et finalement, la douleur s’en est allée comme elle est venue. Sans prévenir. Pendant des années je n’osais même pas en parler car j’étais sûre qu’elle allait me retomber sur le coin de la gueule. Mais voilà, ça fait maintenant 7 ans qu’elle n’a plus frappé à ma porte. Elle sait qu’elle n’est pas la bienvenue 😉

Je me sens bien, libérée. Je précise qu’elle est partie seule. J’espère de tout mon coeur que toi qui lis cet article et qui souffres du même mal de dos, tu te réveilleras un matin avec cette impression de légèreté. De bonheur. Cette impression que maintenant tu peux commencer ta vie.

Courage à toi.

 

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Gâteau – Gravity cake Smarties “Mario” pour les 5 ans de Minouchon

Comme je t’en parlais dans l’article précédent : place au gâteau !

Pour ses 5 ans, je voulais un gâteau qui déclenche chez lui un “Wouaoooooouh” ! Je voulais des yeux tout écarquillés et une bouche grande ouverte ! Rien que ça, ahah !

5 ans, c’est l’âge de l’intérêt à la magie… Un truc suspendu qui verse des bonbons tout seul, qui de plus est se cassent la gueule dans l’assiette,… C’est exactement ce qu’il me lui fallait ! Et j’avoue qu’il me faisait de l’oeil le Gravity cake….

Bien sûr l’idée n’est pas de moi… Mais comme je n’ai pas trouvé toutes les informations qu’il me fallait, je vous fais un récapitulatif de ma manière de procéder. Peut-être que ça illuminera quelques-unes d’entre vous qui hésitaient encore à se lancer 😉

Voilà ce dont j’ai eu besoin :

  • 2 gâteaux au yogourt (ou 2 génoises) de 24 cm (cuire un après l’autre)
  • une ganache (confiture, crème vanille,… ici : mousse au chocolat)
  • des smarties (garder la boite ou le sachet !)
  • des biscuits pour le tour (ici biscuits “Choco Sticks” de la Migros) (2 paquets)
  • une paille en carton
  • du chocolat (qui fera office de colle)
  • un glaçage chocolat (250 ml)
  • un petit pinceau
  • év. une spatule pour lisser le glaçage
  • une assiette de présentation
  • four, congélateur, frigo….

Ce gâteau n’a pas un goût à tomber parterre, mais avouons que c’est n’est pas le but premier. Par contre l’effet est tout de même sympathique, non ?

Pour commencer, j’ai préparé 2 gâteaux au yogourt, dans un moule à charnière de 24 cm. Mais tu peux faire une génoise ou autres. Voici la recette que j’ai utilisée : https://cuisine.journaldesfemmes.fr/recette/330802-gateau-au-yaourt. Pourquoi avoir choisi ce gâteau ? C’est une recette que je fais souvent car les ingrédients se mesurent à l’aide d’un pot de yaourt et les enfants peuvent facilement la faire avec nous. L’arôme du gâteau peut très facilement être modifié (noix de coco, citron, cannelle, vanille,..). Ici j’ai mis un yogourt vanille et ajouté des zestes de citron et orange à la pâte.

Pendant la cuisson : préparer la ganache (ici mousse au chocolat) + faire de la place dans le congélateur.

Une fois les 2 gâteaux cuits et refroidis, les démouler et couper la “bosse” à l’aide d’un couteau à pain, bien à plat.

Couper les biscuits pour le tour (pour moi : bâtonnets Choco Sticks de la Migros) à la hauteur désirée. Ici, tchak, coupés au milieu. Fingers in the nose, ahah !

Une fois les deux couches superposées (retourner celle du dessus à l’envers pour qu’elle soit bien plane), avec la mousse au chocolat tartinée au milieu, placer le tout au congélateur pour 10 minutes. Pendant ce temps, préparer un glaçage au chocolat. Une fois le gâteau froid, répartir uniformément le glaçage sur le dessus et les côtés (mettre le gâteau sur une grille pour le faire).

Quand le glaçage est prêt, placer le gâteau sur l’assiette de présentation.

Disposer ensuite les bâtonnets de biscuits sur le tour du gâteau, en laissant un trou pour simuler la chute des Smarties. Là, j’avoue que j’ai eu un gros couac…. J’ai préparé un glaçage à l’avance, en test. Il était beau et a mis un certain temps à durcir, exactement ce qu’il me fallait. Cependant, son goût ne m’a pas séduite. Donc j’avoue, pour ce gâteau, j’ai finalement acheté du glaçage tout prêt. Et cette petite idée stupide m’a donné bien des sueurs froides… Le glaçage est devenu sec instantanément…! Dur béton… Du coup je n’ai pas pu coller un seul Fingers, rien. J’ai dû faire fondre du chocolat et passer au pinceau chaque Fingers pour les coller… Pareil pour les Smarties…

Insérer la paille (bout replié) au centre du gâteau (à peu près), légèrement inclinée.

Ensuite, voilà les choses sérieuses qui commencent 😉

  1. Placer les Smarties en A, sur le gâteau, en partant du fond de la paille. Le faire aussi sur la hauteur du gâteau, entre les biscuits, pour simuler la chute. En mettre quelques-un sur les côté, comme s’ils sont tombés un peu plus loin. Tu vois ce que je veux dire ?
  2. Disposer les éléments de déco (s’il y en a). Ici, figurines Mario.
  3. Faire chauffer un peu de chocolat au bain-marie.
  4. A l’aide d’un pinceau, badigeonner la paille de chocolat fondu (s’il est très liquide, attendre un peu qu’il refroidisse avant de l’utiliser). Ca permettra de “camoufler” la paille et de faire tenir les smarties.
  5. Coller des Smarties sur la paille, en commençant par la base. Prendre soin de bien fixer la paille à la base, avec des Smarties et du chocolat. Attention : il ne faut faire que quelques Smarties à la fois, garder son doigt dessus et attendre un peu que le chocolat fondu fixe le Smarties. Plus tu attends entre chaque étape, moins ton histoire risque de se casser la gueu figure. Sois patiente ! 
  6. Mon astuce : à l’aide d’un pinceau, mettre un soupçon de chocolat derrière chaque smarties, le maintenir quelques secondes en place avec les doigts (éviter à tout prix d’avoir les doigts tachés).
  7. Remonter le long de la paille. No stress, ça va tenir ! Il faut être patient(e) et laisser sécher le chocolat avant de franchir une autre étape.
  8. Au sommet de la paille, remettre du chocolat et y glisser le paquet de Smarties. il sera maintenu par le chocolat. Si tu as un petit sachet, pour simuler l’effet “gonflé”, tu peux le remplir de papier ménage avant de le fixer.
  9. Placer ensuite, toujours avec du chocolat fondu, des Smarties sur le bord de l’assiette (à l’avant de la chute, genre ça a débordé sur l’assiette). Tu peux aussi en déposer sur la table, en servant.
  10. Tadam !! oui, t’as chaud, t’es claquée mais…. waouw ! Hein dis t’es assez fière quand même ? Non ? Yeeeahh ! Bravo, tu l’as fait !

Ah ! J’oubliais : j’ai préparé le gâteau la veille. Il a passé la nuit et la journée jusqu’à 16h au réfrigérateur… No problem ! A un détail près : c’est vrai que les Smarties décolorent un peu…. Je n’avais pas d’autre choix que de les laisser au frigo car à l’intérieur j’ai mis une mousse au chocolat. Alors voilà, c’est comme ça. J’étais déçue 2 minutes mais au moins je n’ai pas eu le stress de le faire le jour J car je n’aurais clairement pas eu le temps de toute façon ;-).

Voilà quelques étapes et le résultat :


Sinon, pour une version BEAUCOUP PLUS SIMPLE de gâteau Mario (au chocolat, miam miam), tu peux faire une génoise normale et remplacer 20% de la farine par du cacao. Tu prépares ensuite simplement une ganache que tu mets à l’intérieur et sur le tour.

Décoration toute simple ensuite (ici M&M’s pour la couleur) et figurines Mario 😉

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Les 5 ans de Minouchon sur le thème “Mario”

Minouchon est fan de Mario…. ouais enfin c’est surtout papa qui est frappadingue après Mario, du coup Minouchon a baigné dans l’univers Mario depuis son plus jeune âge (et c’est dire s’il est vieux… mouarf). Alors pour ses 5 ans (c’est quand même un anniversaire mémorable les 5 ans, non ?!), j’ai opté pour le thème de ce sympathique p’tit plombier moustachu.

Après avoir rassemblé les éléments de décoration, il a été question d’étudier 3 éléments fondamentaux de son anniversaire :

  1. le gâteau !
  2. les biscuits étoiles
  3. la pinata

Je commence ici par les biscuits. Le gâteau et la pinata se retrouveront normalement dans d’autres articles, tout bientôt !

BISCUITS EN FORME D’ETOILES

Recette :

J’ai préparé des biscuits standards (par exemple en réalisant la même recette que les étoiles de noël). Attention : ici aussi, il faut prendre un emporte-pièces à 5 branches.

Glaçage :

Ensuite, place au glaçage. Rien de plus simple : 100 grammes de sucre glace auxquels j’ai ajouté, une cuillère après l’autre, 6 cuillères à café de jus de citron. J’ai bien mélangé après chaque cuillère. Une fois prêt, j’ai ajouté un soupçon de colorant alimentaire jaune, en poudre. Un petzon, pas plus ! ça colore très rapidement.

Ensuite, à l’aide du dos d’une cuillère à café (oui, c’est tout le matériel qu’il te faudra!), j’ai déposé le glaçage uniformément sur mes biscuits étoiles entièrement refroidis, en veillant à ne pas en mettre trop pour éviter les coulures. T’inquiète pas, tu chopes vite la technique pour faire les pointes ! Un jeu d’enfant !

Déco :

Une fois le glaçage sec, j’ai dessiné les yeux au feutre alimentaire noir (je préfère ici le feutre au gel car plus facile à appliquer). Pour donner ce petit reflet brillant dans les yeux, j’ai (enfin mon mari en partie) a déposé une pointe de glaçage blanc sur le sommet de l’oeil (si tu as du colorant blanc, c’est mieux je pense). Ouais, à 22h j’ai mandaté mon mari pendant que je glaçais la troisième fournée de biscuits… parce que je t’ai pas dit mais c’est looooong ! La vache…. Même que j’allais plutôt pas mal vite, ça prend quand même du temps. Surtout quand tu as 2 enfants dans les pattes 24h/24 et qu’un des deux ne doit surtout pas voir ce que tu fais ;-).

Pour les biscuits-sucette, j’ai simplement inséré un pic à brochette quand les biscuits sortaient du four. Plus ils sont chauds, moins ils se déformeront.

Le blabla : 

Et ce qu’il y a de génial dans cette histoire, c’est que tu peux t’y prendre à l’avance. J’ai commencé le mardi pour l’anniversaire qui a eu lieu le dimanche. Bien conservés dans une boîte à biscuits, ils étaient tip top !

Si tu veux qu’ils aient une tenue maximale (mieux que les miens) – surtout au niveau des yeux , je te conseille de faire les choses dans cet ordre :

  •  J-3 : préparation des biscuits (attention, la pâte doit rester au frigo avant de découper les étoiles)
  • J-2 : glaçage
  • J-1 (ou Jour J, c’est mieux qui tu as le temps) : quand le glaçage est complètement sec, dessin des yeux en noir + point blanc (facultatif). Sur la première série de biscuits, j’ai appliqué une seule couche de feutre et, le lendemain, les yeux n’étaient plus nets. Alors les suivants ont reçu 3 couches de feutres… Nickel. J’avoue que les yeux deviennent moins jolis au fil de jours. Si tu as le temps, fais les yeux le jour J. Ici j’ai fait 3 jours avant. C’est ok mais ce n’est pas parfait. Les photo ont été prise le lendemain de la préparation des yeux.

Comme ça, les jours restants, tu peux les dédier à la préparation du gâteau et le glaçage aura bien le temps de durcir avant de dessiner les yeux.

Sinon, si tu veux savoir comment j’ai fait tenir les sucettes, … j’ai simplement rempli un récipient de riz. Dans le stress je n’ai pas eu meilleure idée. Tu auras peut-être mieux que moi ! Mais ça tient très bien.

Et tu veux savoir comment j’ai fait ces magnifiques personnages en pâte à sucre ?? Alors tu trouveras la réponse dans un prochain article… MEUUUH non ! j’rigole ! Ils sont en plastique !

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Un bracelet en perles à repasser

Tu cherches une idée cadeau toute mimi qu’un de tes enfants pourrait créer de ses p’tites mains pour ta poulette (pour son anniversaire par exemple) ? Je crois que j’ai ce qu’il te faut : un joli bracelet coloré en perles HAMA !

Voici le matériel dont tu auras besoin :

des perles à repasser (on en a toutes quelque part, non ?!)

  • une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé ou natte réutilisable
  • un four
  • un enfant (ben oui, celui qui fait le cadeau)
  • du fil élastique (assez long) (même dans la Migros de mon village il y en a)
  1. Tout d’abord, munis-toi de ton enfant généreux 😉 et de la plaque de cuisson. Après avoir placé une feuille de cuisson, demande à ton enfant de positionner une bonne série de perles “debout”. Attention toutefois à ne pas trop les serrer pour éviter qu’elles ne fusionnent sous la chaleur.
  2. Enfourne le tout pour environ 3 minutes à 200°. Lorsqu’elles sont plates, elles sont prêtes. Evite si possible d’utiliser le four juste pour ça. Prévois éventuellement de les enfourner juste après un gâteau 😉
  3. Laisse refroidir et appelle à nouveau ton enfant généreux 😉
  4. Il te suffit de les enfiler sur le fil élastique et de faire un zoli noeud. Tu peux lui dire de placer une perles “normale” chaque 6 perles plates par exemple. Prévois un fil plutôt long car il faudra le couper régulièrement s’il s’effiloche.

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Une idée cadeau ? L’émulsionneur à lait Séverin SM 9688 !

Bien le salut à toi WonderMum !

Aujourd’hui il faut que je te parle d’un truc que tu ne connais pas encore : l’émusionneur à lait Séverin !

Ok, je sais, donner envie à une maman d’acquérir un objet dont elle n’a jamais soupçonné une seconde avoir besoin (la preuve, c’est que tu es en train de te demander à quoi peut bien servir cette bête….), c’est déplacé. Dans un monde où on cherche à consommer moins et mieux, faire de la pub pour un produit de ce genre n’est pas très sympa de ma part.

Je suis désolée par avance de créer toute cette zizanie dans ta p’tite tête, mais tu verras que bientôt il te le faudra absolument ! C’est un petit bijou ! Toute ta petite famille te félicitera pour ton acquisition, crois-moi !

Toi aussi tu ne sais jamais quoi offrir à ton mari pour son anniversaire ?? Il aime le café ?? Alors vas-y ! En 15 ans, il doit s’agir du premier cadeau de moi qu’il a adoré (mon mari hein ! pas le tien). Pourtant, promis, les autres fois j’ai également remué mes méninges ! Et ça fait plus d’un an et demi qu’il en est fan ! L’offrir à ton mari sera le bon prétexte pour ramener la bête à la maison (je parle toujours de l’émulsionneur là, on est d’accord ?!).

Bon après, si tu n’aimes pas la mousse extraordinairement onctueuse et que tu ne cherches pas une idée cadeau originale pour ton zHomme et que t’as pas envie d’être le super héros de tes enfants, c’est vrai, t’en as pas besoin de la machine… c’est toi qui vois ! ahah !

A quoi ça sert ?

Et bien à faire mousser le lait. Une mousse… comment dire… une mousse juste MIAAAM…. à tomber ! Onctueuse à souhait, épaisse, délicieuse quoi. Même avec du lait écrémé ! Si si ! C’est tout autant de la bombe !

Attends, bouge pas, je vais t’aider…. Alors i-ma-gine : c’est l’hiver. Retour de ski. T’es claquée raide parce que t’as pris les gosses (oui oui, c’est pour t’aider à te mettre en situation). Vous arrivez à la maison, cheminée qui crépite, enfants super calmes (oui ben tu peux imaginer ce que tu veux, c’est dans ta tête, alors ne te prive surtout pas ! ;-). Et te voilà entourée de toute ta petite tribu, autour d’une grande tasse de chocolat chaud avec une épaisse mousse…. mmmmmh…. Plus un bruit. Silence. Rien. On apprécie. Moustache pour tous, évidemment. Bonheur total. Et tout ça grâce à la bête dont je te parle !

Tu peux faire mousser ton lait et tirer ton café par-dessus (avec une machine à café hein ! – l’émulsionneur s’occupe du lait, c’est déjà pas mal).

Tu peux varier la température ! Génial pour les petits. Et même faire mousser du lait froid ! Si si !

Bon bon, j’ai aussi essayé de faire mon liniment oléo calcaire dans l’émulsionneur ! Mais ne le dis surtout pas à mon mari ! Ça sera notre petit secret ! Ben tu sais quoi ? … ça marche aussi !

Bref, un vrai petit bijou qui illuminera tes journées 😉

Les +

  • très peu bruyant
  • prépare de la mousse froide ou chaude
  • température réglable (de 0° à 65°) ! Super pratique pour les enfants !
  • capacité : 700 ml
  • peut aussi simplement chauffer le lait à la température désirée, sans faire la mousse. Un must pour les bibi
  • passe au lave-vaisselle
  • parfait pour les biberons de lait en bouteille (fonction sans mousse)
  • joli design

Les –

  • un peu grand (mais bon… faut pas exagérer non plus…)
  • je cherche un 2e point mais je trouve pas…
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Des étoiles pleins les yeux pour les fêtes – Biscuits de Noël avec Smarties

Ouh la la, je te vois venir ! J’t’ai entendu t’écrier : “mais qu’est-ce qu’elle rapplique avec des étoiles de Noël à deux doigts du mois de mai ??!”.

Ben ouais… j’ai pas trouvé le temps avant. J’arrête pas une seconde. Mais dans un petit coin de ma tête (assez au fond quand même), y a un petit tiroir ouvert qui n’attendait que de dévoiler son contenu ! Fallait que j’en parle, qu’importe le moment ! Alors voilà, c’est pas la saison idéale tu me diras, mais tu seras sûrement contente de savoir que sur le site de celle qui a des lubies, il y a une recette toute prête, qui t’attend pour la fin de l’année 😉 Alors au lieu de rouspéter parce que je suis super en retard, dis-toi que je suis plutôt teeeellement organisée que j’ai une méééééga avance !

Avant de t’en dire plus, je tiens à souligner que l’idée et la recette ne sont pas de moi. Ouais, ben non, même pas. Déçue hein ? Elles proviennent du site www.oetker.fr. Comme je trouve ces p’tits biscuits trop sympas, je me permets de partager l’idée ici. Je copie entièrement leur recette ci-dessous.

Par contre, faut que je te dise quand même un truc ! Non, je ne vais pas te laisser dans la mouise… ! Quand j’ai vu ces étoiles, il a fallu que je les fasse là, tout de suite ! Une vraie urgence vitale. Je pouvais pas attendre une semaine, tu penses bien. Mais voilà, va trouver un emporte-pièce avec 5 branches ! J’ai ameuté ma famille, tous mes contacts, mes voisins, mes amies… Tout le monde a des étoiles à 6 branches…. Du coup, j’ai reçu plein d’emporte-pièces un peu après les fêtes, ahahah ! Alors si tu es désespérée et que tu trouves pas ton bonheur en magasin, fais-moi un mail, j’en ai tout une série si jamais 😉

Ah oui, hum, j’oubliais… ! Je me suis un peu emballée encore…. A la base on fait ces étoiles pour passer un bon moment avec les enfants, on est d’accord ? D’où cette recette sur ce site 😉

 

Ingrédients

Matériel

1 emporte-pièce étoile à 5 branches !

Pour la pâte :

250 gr. de farine de blé
½ c. à c. de Levure Chimique Dr.Oetker ancel
100 gr. de sucre glace
zestes rapés d’une orange non traitée
125 gr. de beurre pommade (mou)
1 oeuf

Et aussi:

50 gr. de chocolat (ou de pastilles chocolatées, amandes entières)
crayons pâtissier

Mode de préparation

Tapissez la plaque d’une feuille de papier cuisson. Préchauffez le four.

Four électrique: 180°C

Four à chaleur tournante: 160°C

 

Préparation de la pâte

Dans un récipient, ou la cave d’un batteur, mélangez la levure à la farine. Ajoutez tous les autres ingrédients et travaillez (crochets pétrisseurs) d’abord à vitesse lente puis rapide jusqu’à obtention d’une pâte lisse. Sur un plan de travail légèrement fariné, abaissez la pâte, puis découpez des étoiles à l’emporte-pièce. Déposez les formes sur la plaque.

Cassez le chocolat en morceaux. Placez un morceau de chocolat (ou au choix : une pastille chocolatée ou encore une amande) au centre de chaque étoile, puis rabattez 1 ou 2 branches sur le chocolat en pressant légèrement.

Placez au four et faites cuire :

Position de la grille: Milieu

Temps de cuisson : Environ 10 Min.

Sortez les biscuits du four, faites glisser sur une grille et laissez refroidir.

Sur chaque étoile, dessinez une bouche et des yeux à l’aide d’un crayon pâtissier.